1937 FUSILLADE DE CLICHY Folla all'Ospedale REAL PHOTO

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23 marzo 1937
FUSILLADE DE CLICHY
Folla davanti all'ospedale

Vera fotografia d'epoca con nota dattiloscritta:

"Après les sanglants evenements de Clichy.
La foule stationne devant l'Hopital Beaujon à Clichy, où la plupart des blessés ont été transportés
."

Agence Photographique Keystone - Paris

Vera fotografia d'epoca, originale, autentica.

Nota del contestualizzatore:
FUSILLADE DE CLICHY: Le 16 mars 1937, le Parti social français (ex-Croix-de-feu) décide d'organiser une réunion à Clichy. Le gouvernement de Front populaire, violemment accusé par la presse conservatrice de brimer l'opposition, se refuse à l'interdire. Un refus aurait été d'autant plus problématique que le mouvement de François de La Rocque joue depuis le 6 février 1934 la carte du légalisme intégral, considérant qu'il faut « montrer sa force pour ne pas avoir à s'en servir ».
A l'appel du maire SFIO de Clichy, Charles Auffray, du conseiller général Naile, communiste, et du député également communiste Louis Maurice Honel, une contre-manifestation est organisée.
Des centaines de manifestants assiègèrent le lieu de la réunion, obligeant la police à demander des renforts de Paris. Après les sommations d'usage, la police ouvrit le feu. Selon Le Figaro du 18 mars 1937, le bilan est de 4 morts (porté à 5 quelques jours plus tard) et plus de 300 blessés (200 blessés selon d'autres sources).


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23 marzo 1937
FUSILLADE DE CLICHY
Folla davanti all'ospedale

Vera fotografia d'epoca con nota dattiloscritta:

"Après les sanglants evenements de Clichy.
La foule stationne devant l'Hopital Beaujon à Clichy, où la plupart des blessés ont été transportés
."

Agence Photographique Keystone - Paris

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Nota del contestualizzatore:
FUSILLADE DE CLICHY: Le 16 mars 1937, le Parti social français (ex-Croix-de-feu) décide d'organiser une réunion à Clichy. Le gouvernement de Front populaire, violemment accusé par la presse conservatrice de brimer l'opposition, se refuse à l'interdire. Un refus aurait été d'autant plus problématique que le mouvement de François de La Rocque joue depuis le 6 février 1934 la carte du légalisme intégral, considérant qu'il faut « montrer sa force pour ne pas avoir à s'en servir ».
A l'appel du maire SFIO de Clichy, Charles Auffray, du conseiller général Naile, communiste, et du député également communiste Louis Maurice Honel, une contre-manifestation est organisée.
Des centaines de manifestants assiègèrent le lieu de la réunion, obligeant la police à demander des renforts de Paris. Après les sommations d'usage, la police ouvrit le feu. Selon Le Figaro du 18 mars 1937, le bilan est de 4 morts (porté à 5 quelques jours plus tard) et plus de 300 blessés (200 blessés selon d'autres sources).